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Caramel Or Blanc

une histoire sucrée – salée.

Le Moulin du Diable

Ici au pied du célèbre Moulin du diable, à Guérande.

Notre histoire démarre en France et tout particulièrement à Guérande, non loin des marais salants, au pieds du célèbre Moulin du Diable. C’est ici, depuis 15 ans, que Jean-Charles, crêpier, développe son caramel maison. Un Caramel breton maison, réalisé selon une méthode artisanale au sein de sa très renommée « Crêperie du Moulin du Diable ».

C’est au cours de ces nombreux voyages à la Martinique, mais également aussi beaucoup de succès auprès de ses clients, que l’envie est née de  faire découvrir « Son Caramel » au plus grand nombre et dans le monde entier.

Ainsi est né de son savoir faire « le Caramel Or Blanc » au Sel de Guérande et au Sucre de canne de Martinique.

Particulier comme professionnel, Caramel Or Blanc sera sublimer et mettre en avant toutes vos créations.

Un caramel de caractère : « Un petit bijou en bouche! »

Pourquoi l’appellation Or Blanc ?

Le sel, comme l’eau est essentiel au fonctionnement du corps humain ; il est précieux comme condiment et comme agent de conservation des aliments.

Au Moyen-Age, il était si précieux qu’on l’appelait « l’or blanc », c’est dire son importance et sa valeur. Aujourd’hui, le sel est utilisé presque exclusivement comme assaisonnement mais pendant des siècles il était une denrée de première nécessité. Sans sel, en effet impossible de conserver les viandes, les poissons et même certains fromages.

Où trouve t-on l’or blanc de Guérande ?

L’histoire des marais salants de Guérande…

Guérande et la récolte du sel : une histoire qui dure depuis fort fort longtemps. Sur la Presqu’île de Guérande, on récolte le sel depuis l’âge de fer et les premières salines du territoire datent du 3e siècle. Les marais salants dans leur configuration actuelle, datent, eux, de l’an 945. Ils ont été dessinés par les moines de l’Abbaye de Landévennec, au moment de la création du Prieuré de Batz.

Ce ciselage du territoire, millénaire, a permis la prospérité de Guérande à travers les siècles, faisant d’elle une étape incontournable des routes commerçantes en Europe. Et aujourd’hui encore, Guérande est connue à travers le monde entier pour son gros sel et sa fleur de sel, produits exportés dans 55 pays, en Europe, en Amérique du Nord et en Asie.

Les marais salants guérandais

Le marais salant est un paysage grandiose, façonné par la main de l’homme depuis des siècles. Labellisés « Site remarquable du Goût », les 2 000 hectares de marais sont alimentés par les traicts du Croisic et de Mesquer. Protégés pour leur patrimoine écologique, ils se découvrent notamment avec 3 structures : Terre de Sel et la Maison des Paludiers à Guérande et le Musée des Marais Salants de Batz-sur-Mer. De même, des paludiers indépendants ou associations vous proposent de nombreuses prestations.

Un label pour les marais salants de Guérande

Les marais salants de Guérande sont inscrits en tant que « Sites Remarquables du Goût » depuis 1995. Le sel de Guérande, lui, obtient, en plus du Label Rouge en 1991, l’Indication géographique protégée (IGP) délivré par la Commission européenne en 2012, qui récompense la démarche qualité mise en place par les paludiers pour récolter un produit qui ne subit ni lavage, ni traitement chimique, ni adjonction, contrairement à d’autres sels.

La récolte du sel de Guérande de nos jours…

Comment récolte-t-on le sel de Guérande ?

Le sel de Guérande est récolté à la main au printemps et en été lorsque les jours sont les plus longs. Un bon ensoleillement et un vent d’est sec sont des conditions très appréciées des paludiers. En effet, ces éléments favorisent l’évaporation de l’eau et la formation des cristaux de sel. La fleur de sel est ramassée à l’aide d’une lousse, outil permettant de récupérer les cristaux à la surface.

Pour la récolte du gros sel, le paludier utilise un las, un outil au manche extrêmement long. Ce las lui permet d’écumer le fond argileux de l’œillet pour y récupérer le gros sel. Il forme des tas aux abords du bassin et les laisse sécher toute une nuit. Le lendemain, il revient chercher le gros sel pour l’acheminer jusqu’à son lieu de stockage.

La technique utilisée actuellement pour récolter le sel de Guérande est semblable à celle utilisée au 9e siècle.

Ci dessous une vidéo sur l’extraction du sel.

C’est lors de voyage en famille en Martinique,
que nous avons eu la chance de découvrir le Sucre de canne…

L’histoire du sucre de canne, l’origine de la canne à sucre…

La canne à sucre est une plante de la famille des graminées. Elle serait originaire d’Asie et se serait répandue dans le monde grâce aux voyages des grands navigateurs. Christophe Colomb a introduit cette plante sur l’île de Saint Domingue dès 1493, au cours de son second voyage. Les explorateurs avaient découvert des vertus dans les propriétés sucrées de cette plante comme la possibilité de produire du miel sans l’intervention des abeilles.

Les débuts de la canne à sucre aux Antilles…

C’est vers 1640 que la canne à sucre va faire son apparition en Martinique et dans le reste des Antilles. Ce sont des îles propices à la culture de la canne à sucre qui requiert un climat chaud et humide que l’on ne trouve pas dans la plupart des pays européens. Le but de cette culture était alors de fournir en sucre toute l’Europe.

Le sucre récolté était envoyé en métropole où il était raffiné puis commercialisé. Cette production fut un essor économique important pour les Antilles. La canne à sucre va très vite prendre le dessus sur les autres cultures comme le tabac, le coton ou le café. Les plantations alors se multiplient sur les îles.

Si les plants de canne à sucre s’obtiennent par bouturage, sa culture demande ensuite des attentions particulières. Ce n’est qu’au bout de 18 mois environ que les tiges arrivent à maturité et peuvent être récoltées. Entre temps, les plants doivent être irrigués et désherbés très régulièrement.